Résuméde La catastrophe du car de Millas Jeudi 14 décembre 2017, 16h, au collège Christian-Bourquin de Millas dans les Pyrénées-Orientales, l'heure de la fin des cours a sonné. Devant l'établissement scolaire, un autocar attend les vingt-trois
L'avocat de la conductrice du bus entré en collision avec un TER, le 14 décembre, à Millas, décrit une femme en état de choc, passionnée par son métier. Le drame a fait six morts, selon un dernier bilan de la collision entre un autocar scolaire et un train régional survenu jeudi dernier à Millas, dans les Pyrénées-Orientales, s'est alourdi lundi à six enfants décédés, après la mort d'un blessé grave. Cette catastrophe a fait également dix-sept blessés, dont la conductrice du car, tandis que pour cinq collégiens, le pronostic vital est toujours engagé. Du côté de l’enquête, deux versions s’opposent toujours celle de la conductrice et celle de la SNCF. "Il n'y avait aucune entrave à la circulation"La conductrice du bus, une mère de famille âgée de 47 ans, a été interrogée pour la première fois par les enquêteurs ce week-end. Une audition au cours de laquelle elle a donné sa version de l'accident. Pour elle, cela ne fait aucun doute les barrières du passage à niveau ne se sont pas fermées, et aucun signal sonore ou lumineux ne l'a avertie du danger. Et son avocat, Me Jean Codognès, est formel selon lui, rien ne permet aujourd'hui d'affirmer que sa cliente a commis une imprudence. "Elle circule à 12 km/h, donc elle s'engage avec prudence. Elle a indiqué que les barrières étaient levées, qu'il n'y avait aucune entrave à la circulation. Elle ne serait jamais passée avec un bus, ou même un vélo, si les barrières avaient été baissées", fait-il valoir auprès de barrière sera analyséeUn témoignage appuyé par celui d'une collégienne passagère du car qui suivait celui entré en collision avec le revanche, le conducteur du train et un automobiliste contredisent cette version. Pour eux, ces barrières étaient son côté, la SNCF garantit le fonctionnement normal de ce passage à niveau au moment de l'accident. Pour déterminer la position des barrières, les enquêteurs vont s'appuyer sur des éléments matériels et vont notamment analyser le bloc d'articulation de la état de choc L'avocat de la conductrice du bus décrit une femme en état de choc, et pour qui son métier est une passion."Elle était en parfaite harmonie avec son environnement, elle adorait ces enfants. Elle m'a expliqué que lorsqu'on l'a changée de trajet, et que ça lui semblait compliqué, elle allait la veille repérer avec son véhicule personnel les trajets, pour être sûre", explique Jean Codognès. "Pour elle, conduire un bus était une mission".
L accident de Millas est une collision survenue le 14 décembre 2017, sur un passage à niveau de la commune de Millas, dans le département français des Pyrénées-Orientales, entre un autocar
Publié le 4 octobre 2018 à 22h59Source AFPRAPPORT - "Le Parisien" dévoile les conclusions des expertises techniques dans le drame de Millas en 2017 qui a coûté la vie à six collégiens. Elles confirment un freinage d’urgence du car scolaire près de la barrière et exonère la conclusions des expertises techniques tendent à confirmer les premiers éléments de l’enquête la responsabilité de la conductrice du car scolaire dans le drame de Millas Pyrénées-Orientales. Selon Le Parisien qui cite le rapport des deux experts qui ont analysé le bus percuté par un TER en décembre 2017, "l’origine de cet accident provient d’un freinage tardif de la conductrice de l’autocar". Six collégiens avaient perdu la vie dans la catastrophe et 17 personnes avaient été blessées. Cette mère de famille de 46 ans avait été mise en mise en examen pour "homicides et blessures involontaires par imprudence" et placée sous contrôle judiciaire, avec interdiction de conduire. Elle a toujours affirmé que les barrières étaient levées au moment des faits et que ni le feu rouge du passage à niveau, ni la sonnerie d'alarme ne fonctionnaient. Lire aussi"Elle écrase la pédale de frein"Selon les experts, "après avoir effectué sa délicate manœuvre d’insertion sur la Départementale 612 et après avoir accéléré jusqu’à 12 km/h, la conductrice de l’autocar […] se rend compte de la présence d’un obstacle devant son autocar et elle écrase la pédale de frein". Suivant leur raisonnement, ils poursuivent "Le seul obstacle pouvant se trouver devant son autocar dans son couloir de circulation nécessitant d’écraser la pédale de frein est la présence de la barrière fermée du passage à niveau n°25." Lorsqu'elle freine, il est déjà trop tard. "Sur sa lancée, bien qu’elle soit en freinage, elle percute la barrière du passage à niveau qui se plie.", concluent-ils. Les témoignages des conducteurs du TER et des chauffeurs des véhicules qui se trouvaient de l'autre côté de la voie ferrée assuraient que la barrière était fermée. D’après Le Parisien, l’expertise technique réalisée sur les rames et le passage à niveau exonère également la SNCF, les experts n’ayant "pas identifié de cas de dysfonctionnement de ce PN NDLR passage à niveau qui aurait pu conduire à une non-fermeture de barrière au moment du passage du train". Lire aussiExpertises médicales demandées Le quotidien explique que la juge d’instruction a désigné deux experts médicaux afin de savoir si les somnifères pris par la conductrice depuis sept ans ont pu jouer sur son acuité visuelle ou auditive. Pour Jehanne Collard, l'avocate de trois familles de victimes, les responsabilités ne doivent pas se limiter à la seule conductrice du car. "Qui a laissé la vie de ces pauvres enfants entre les mains d’une femme qui prenait un puissant somnifère depuis sept ans et qui ne le cachait pas ?", s’interroge l'avocate dans un communiqué. Et d’énumérer les questions qui se posent dans cette affaire selon elle "Pourquoi ni la préfecture, ni la société de cars ne se sont préoccupés des troubles de comportement, des absences que ce médicament pouvait provoquer ? Pourquoi, contre toutes les recommandations pharmacologiques, son médecin acceptait-il de lui renouveler ce somnifère automatiquement de trois mois en trois mois ? Pourquoi a-t-on supprimé depuis 2017 les contrôles médicaux pour les personnes qui ont la responsabilité quotidienne de gamins qui vont à l’école ?" Au mois d’août, plus de huit mois après la collision mortelle et alors que l’enquête n’était pas bouclée, le passage à niveau de la route départementale 62 a été rouvert, provoquant la colère de certaines familles de victimes. La rédaction de LCI Sur lemême thèmeToutTF1 InfoLes + lusDernière minuteTendanceVoir plus d'actualités Voir plus d'actualités Voir plus d'actualités
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️ #REPLAY - Décembre 2017, dans la petite commune de Millas une collision, entre un train et un autocar transportant vingt-trois collégiens, se produit à ha
Infos › Société › TRANCHES D'HISTOIRES le crash de 1962 à Deshaies Société Par 23/06/2018 - 1708 • Mis à jour le 23/06/2018 - 1708 Guadeloupe 103 passagers périssaient dans ce crash survenu le 22 juin 1962 dont 3 personnalités politiques, le Guadeloupéen Albert Béville, l’un des leaders du Front Antillo-Guyanais pour l’Autonomie, le député autonomiste guyanais Justin Catayé et Roger Tropos, président de l'association des étudiants martiniquais. Cette tragédie est restée gravée dans la mémoire des antillais et guyanais, d’autant que ses causes n’ont jamais été éclaircies. Le vol 117 d'Air France est un vol reliant Paris à Santiago Chili via Lisbonne Portugal, Santa Maria Açores, Pointe-à-Pitre Guadeloupe, Bogota Colombie et Lima Pérou. Le vol du 22 juin 1962 assuré par le Boeing 707 immatriculé F-BHST s'écrase sur le morne du Dos d'Âne à Deshaies en Guadeloupe, alors qu'il est en approche sur l'aéroport du Raizet de Pointe-à-Pitre, provoquant la mort des 103 passagers et des dix membres d'équipage. Le Boeing 707, immatriculé FBHST et baptisé Château de Chantilly, avait été livré à Air France quelques mois plus tôt, en mars 1962. C'était l'un des 18 Boeing 707 qu'exploitaient alors la compagnie. L'avion n'affichait que 963 heures de vol. Il avait fait l'objet d'une inspection la semaine précédente. L'avion décolle de l'aéroport d'Orly à minuit, heure locale. À l'escale de Lisbonne quelques passagers descendent et huit autres embarquent. Après une nouvelle escale aux Açores, l'avion se dirige vers la Guadeloupe, où il arrive de nuit, vers 4 h du matin. Le temps est orageux, avec des éclairs, de la pluie et des vents de 30 à 40 nœuds. L'avion fait une première approche vers la piste dans des nuages bas mais a semble-t-il des problèmes avec son train d'atterrissage. Il survole la piste et fait alors un demi-tour sur la gauche, selon la procédure d'approche interrompue. L'équipage s'annonce à la verticale de la balise NDB à 5000 pieds, puis la communication avec la tour de contrôle est perdue et quelques minutes plus tard, l'avion heurte la montagne dite du Dos d'Âne, à environ 420 mètres d'altitude, dans une zone boisée à 23 kilomètres de l'aéroport. Les dix membres d'équipage et les 103 passagers, principalement français et sud-américains, sont tués. Parmi eux Albert Béville alias Paul Niger, écrivain, administrateur et militant politique, Justin Catayéé, député de Guyane, Jorge Gaitán Durán, écrivain colombien. L'écrasement de l'avion n'a pas fait de victimes au sol. Les causes exactes de l'accident restent à ce jour, inconnues. Le crash s'est produit sous un orage mais dans des conditions météorologiques acceptables pour un quadriréacteur comme le Boeing 707. L'aéroport n'était à l'époque pas équipé d'ILS et son VOR était hors service, impliquant une procédure d'approche NDB, moins précise. Le morne du Dos d'Âne se situe dans l'axe de la piste d'atterrissage mais à 23 km du seuil de piste, loin de la trajectoire d'approche. Il est possible que les indications du radiocompas ADF aient été perturbées par l'orage, faisant dévier l'avion à 15 km de la trajectoire nominale. La présence à bord de plusieurs personnalités politiques partisanes de l'autonomie des Antilles et de la Guyane françaises, dont Albert Béville et Justin Catayée, ont donné lieu à la rumeur d'un sabotage ou d'un attentat. Si la thèse de l’attentat n’a pu être démontrée, celle de l’accident a laissé des doutes. Sur ce site, des stèles commémoratives rappellent la catastrophe. Elles ont été érigées, en mémoire des victimes, dédiée à Justin Catayé et celle en hommage à Albert Béville pour le cinquantenaire de l'événement. Des débris d'avion témoignent encore de la violence du choc. Sources&images OfficedutourismeGuadeloupe,UneautrehistoireClaudeRibbe, Wikipédia, À lire également
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RegardezCatastrophe du car de Millas : que s'est-il vraiment passé ? - Dailymotion. Recherche. Bibliothèque. Se connecter. S'inscrire. Regarder en plein écran. il y a 27 jours. Catastrophe
Le journal RTL de 7h Millas après le drame, les familles dans l'incompréhension 001413 La détresse et l’incompréhension règnent après le dramatique accident qui a coûté la vie à cinq collégiens, jeudi 14 décembre dans les Pyrénées-Orientales. Une messe a été célébrée à leur mémoire, vendredi soir, dans l'église de Saint-Féliu-d'Avall. Une commune frappée de douleur et de les circonstances de la collision entre un car scolaire et un TER restent floues. Les élèves ont été pris en charge par une cellule psychologique, ouverte 24h/24 et jusqu'à Noël. Des registres de condoléances ont été ouverts à la mairie, pour rendre hommage aux victimes de l'accident. "Tout le monde se connaît ici, donc oui, je les connais .... Ça aurait pu être nous à leur place", explique le jeune Théo, un habitant de la commune. Dans les rues de Saint-Féliu-d'Avall, les lumières de Noël ont été décrochées et les petits sapins dispersés sur la commune, retirés. Le mystère reste entier sur les circonstances du drame. Les barrières du passage à niveau étaient-elles fermées comme l'indiquent plusieurs témoignages ? À écouter également dans ce journal - Coup de théâtre aux assises de Seine-Saint-Denis le procès de Georges Tron a été renvoyé à "une date ultérieure", officiellement pour un problème de calendrier. - Pas de coup de pouce pour le Smic, qui augmentera mécaniquement de 1,24% au 1er janvier, passant à 1 498 euros brut mensuel. - Plusieurs ministres sont millionnaires d'après la publication par la Haute autorité pour la transparence de la vie publique, des déclarations de patrimoines des membres du gouvernement. - Avec quelques jours d'avance Emmanuel Macron célèbre son anniversaire et passe tout le weekend en famille, dans le domaine du Château de Chambord. - Quatre Palestiniens ont été tué dans des affrontements avec les forces israéliennes vendredi lors d'une nouvelle journée de mobilisation contre la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël. - Un cadeau de Noël original un squelette de Mammouth de 3,40 mètres de haut et 5 mètres d'envergure a été mis aux enchères à Lyon. Une pièce unique découverte en Sibérie. - Les handballeuses françaises sont en finale du Mondial après leur victoire contre la Suède 24 à 22. L’actualité par la rédaction de RTL dans votre boîte mail. Grâce à votre compte RTL abonnez-vous à la newsletter RTL info pour suivre toute l'actualité au quotidien S’abonner à la Newsletter RTL Info
Vidéode Télé Matin en replay et à la demande, publiée le 20/06/2018
Le 18/12/2017 à 1535 MAJ à 2019Un panneau de signalisation, quelques mètres avant le passage à niveau de Millas, dans les Pyrénées-Orientales, le 16 décembre 2017. - Raymond Roig - AFPTrois enquêtes ont été ouvertes pour déterminer les circonstances de la collision mortelle entre un TER et un car scolaire jeudi dernier à Millas, dans les barrières du passage à niveau n°25 de Millas étaient-elles levées ou fermées au moment de la collision entre un TER et un car scolaire? Ou seulement l’une d’entre elles? Le dispositif d’alerte et la signalétique du passage ferroviaire restent au cœur de l'enquête sur le drame survenu jeudi dernier dans les Pyrénées-Orientales, qui a coûté la vie à six enfants, dont le dernier vers 20h ce lundi. Cette catastrophe a fait également dix-sept blessés dont la conductrice du car. Pour cinq collégiens, le pronostic vital est toujours engagé. Trois enquêtes ont été ouvertes. L'une, judiciaire, est sous l'autorité du procureur. Une autre, administrative, est menée par le Bureau d'enquêtes sur les accidents de transport terrestre BEA-TT du ministère des Transports. La troisième est interne à la par le procureur de la République à Marseille, la conductrice du car scolaire a assuré aux enquêteurs que "les barrières étaient levées". Un témoignage corroboré par les déclarations d’une collégienne, placée derrière la conductrice dans le bus."Elle m’a bien confirmé, elle me l’a confirmé encore aujourd’hui, que la barrière était ouverte. La conductrice du car est passée. Etant donné que c’était ouvert, elle s’est engagée", a rapporté sur BFMTV la grand-mère de cette élève du collège témoin de la scène interrogé sur notre antenne affirme lui aussi que la barrière qui intéresse les enquêteurs était ouverte, sans signal sonore ni visuel pour interdire le passage du véhicule, et que l’autre barrière était éléments prélevés sur la scène de la collisionVendredi, Christian Faur, gérant de l’entreprise propriétaire du car scolaire, a assuré que sa salariée avait "traversé en confiance et sécurité le passage à niveau barrière relevée et feux éteints", critiquant au passage les déclarations de la soir, la société ferroviaire avait en effet indiqué que "selon des témoins, le passage à niveau avait fonctionné normalement", tout en attendant que "cela soit confirmé par l'enquête". Le conducteur du train a également affirmé que les barrières étaient procureur de la République à Marseille a noté vendredi que "les témoignages n’étaient pas tous concordants mais très majoritairement en faveur de barrières fermées"."Il faut relever que les éléments matériels qui ont pu être recueillis sur place et notamment le bloc d'articulation de la barrière mettent celle-ci en position fermée", a-t-il de plus expliqué. Toutefois, le bloc a été récupéré pour être analysé avant de confirmer une quelconque moyens techniquesDans un premier temps, certains ont avancé une photographie censée prouver que la barrière était ouverte au moment de l’accident. Néanmoins, l’image a été prise après la collision et la SNCF affirme que la réouverture d’une barrière après le passage d’un train est se poursuit donc pour déterminer les circonstances exactes de la collision. Un drone va notamment être dépêché sur place, avec un pilote, pour prendre des photos en autocar va aussi simuler le chemin emprunté par la conductrice, avec des caméras à l’intérieur pour reconstituer son champ de vision au moment et à l'endroit de l' plus, les enquêteurs vont utiliser un laser afin de modéliser la scène en trois dimensions et "figer" les éléments encore sur place, afin de pouvoir faire des simulations par la suite.
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